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On aura tout vu, ou presque, quand on évoque l’impression 3D. Au niveau des matériaux proposés, entre le verre et le l’acier, on pourra désormais s’amuser à imprimer du simili bois chez soi.
Ce sont des chercheurs de l’université de Jérusalem qui ont réussi cet exploit, en créant une « encre » spéciale s’inspirant de nos chers arbres. La technologie s’appuie ainsi sur des dérivés proches du bois transformés en une pâte capable de prendre la forme désirée après impression.
Selon Doron Kam, l’un des doctorants travaillant sur le projet, cette technique se base sur deux procédés distincts.
Dans un premier temps, la matière organique est transformée en « farine de bois » avant d’être combinée à d’autres produits organiques faisant office de colle.
Puis, la petite mixture est placée dans une imprimante 3D avant impression. Outre le procédé, les chercheurs ont même réussi à « programmer » la matière afin qu’elle acquiert une forme bien spécifique lors du séchage.
Les chercheurs ont ajouté qu’ils ont évité de créer une matière pouvant résister au temps. Au contraire, il sera possible de broyer le tout et réutiliser la matière à nouveau pour une nouvelle impression. Toujours selon Dorom Kam, il serait même possible d’avoir le parfum typique de tel ou tel arbre après le processus d’impression, histoire de parfaire encore plus l’illusion.Est-ce que cette technologie risque d’exploser à l’avenir ? Selon les chercheurs, cette nouvelle forme d’impression pourrait redéfinir la manière dont on décore nos maisons, tout en s’appuyant sur une approche durable et écologique des choses.
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Il semblerait que HP va devoir passer à la caisse. En effet, suite à l’affaire de sa mise à jour en 2016, la justice a finalement tranché et le géant de l’impression va devoir sortir plus d’un million d’euros de sa besace.
Pour rappel, HP avait introduit un nouveau protocole de sécurité nommé Dynamic Security (ou sécurité dynamique) visant à améliorer l’intégrité l’appareil des utilisateurs. Problème, cette mise à jour empêchait par la suite toute utilisation de cartouche ou toner compatible sur l’imprimante. Devant cette restriction, les utilisateurs avaient massivement fait entendre leur mécontentement, forçant même HP à poster un patch visant à downgrader les imprimantes.
Même si la marque a maintenu avoir fait cette mise à jour pour protéger ses appareils, ils avaient déjà dû répondre de leurs actes devant la justice en 2018. En effet, HP avaient dû dédommager les utilisateurs australiens avant de faire de même aux USA en décembre dernier.
C’est désormais au tour de l’Europe de faire « payer » la firme et suite à un accord passé avec l’organisme Euroconsumers , HP devra ainsi verser plus d’un million d’euros de dédommagement auprès des utilisateurs.
Pour le moment seul certains pays sont concernés, à savoir la Belgique, l’Italie, le Portugal et l’Espagne. A noter cependant que les utilisateurs HP de ces pays devront fournir certaines preuves, comme par exemple le modèle utilisé entre le 1er septembre 2016 et le 17 novembre 2020. Une rémunération allant de 20 à 50 euros est possible, selon le modèle et les dommages causés.
HP sort quand même de cette histoire la « tête haute », cet accord n’étant pas une preuve de la malhonnêteté du constructeur durant l’affaire de la mise à jour.
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