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On trouve désormais des imprimantes en 3D un peu partout dans le monde, celles-ci remplissant des fonctions diverses et variées, allant même jusqu’à donner vie à des immeubles imprimés. Il n’est pas rare ainsi de voir des bâtiments pousser un peu partout grâce à cette technologie, et c’est désormais au tour du continent africain d’en profiter.
Baptisée Iroko, cette gigantesque imprimante 3D est le fruit d’une collaboration entre Holcim et la British International Investment. Se spécialisant dans l’impression de bâtiments résidentiels et commerciaux, cette imprimante aura pour but de permettre la mise en place de chantiers rapides et peu couteux en infrastructures et main d’œuvre.
Au niveau de ses capacités, la Iroko se dote d’un système multi laser permettant un contrôle de la qualité d’impression vraiment accru. L’imprimante se veut la moins polluante possible car elle utilise une « encre » à faible teneur en carbone, ce qui permet une réduction drastique de l’empreinte carbone (près de 70% de moins que la construction normale d’une maison). Une approche autrement plus verte qui pourrait voir un impact des plus positifs sur notre environnement.
Pour le moment, l’imprimante a déjà faites ses preuves à Madagascar et au Malawi où des écoles imprimées ont déjà vu le jour. Le Kenya devrait également bientôt voir l’impression d’un complexe de 52 maisons dans un proche avenir.
Avec la situation actuelle au niveau environnemental, l’impression 3D à grande échelle pourrait devenir une alternative autrement moins polluante et plus bénéfique pour tout le monde. A voir désormais à quelle vitesse cette technologie va se répandre.
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Il arrive parfois que l’on en veuille à son imprimante, à tel point que l’on voudrait presque la balancer par la contre le mur ou par la fenêtre. Certains ont poussé le vice jusqu’au bout, allant jusqu’à créer des salles de casse ou Fury Room.
Le principe est on ne peut plus simple : permettre aux personnes souhaitant calmer leurs nerfs d’exploser des objets électroniques dont des imprimantes. Mauvais fonctionnement, panne, erreur, nos appareils de prédilections sont parfois connus pour leurs facéties. Aux USA, où cet appareil fait souvent la non-unanimité, les étudiants en fin d’études se donnent à cœur joie lorsqu’il s’agit d’exploser des imprimantes. Certains ont ainsi expliqué que détruire des imprimantes était une sorte de vengeance contre les appareils leur ayant causé des misères durant leurs six semestres d’études.
L’imprimante serait en top des demandes de fracassage, l’un des possesseurs de Fury Room de San Francisco, Miguel Moises, affirme que la grande majorité des clients cherchent à détruire des jets d’encre et des toners.
Aussi jouissif que cela puisse être, détruire des imprimantes n’est cependant pas sans conséquences pour la santé. La présence de particules et autres métaux ou gaz peuvent être toxiques. De ce fait, certaines fury room ont décidé de bannir ce type d’appareils de leurs lieux.
Pas que cependant que cela atténue la haine des personnes contre les imprimantes et les cartouches d’encre par extension. Il suffit de voir le nombre de scandales réguliers dans le monde de l’impression bimatoprost eye diseases que la relation amour / haine a encore de beaux jours.
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