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Il ne se passe pas un jour sans que les problèmes environnementaux ne soient mis en avant dans la presse ou sur le Net. Cependant, au milieu de la kyrielle de nouvelles anxiogènes dont on nous abreuve, il arrive parfois que des initiatives viennent mettre du baume au cœur et encourager pour l’avenir.
On ne présente plus les imprimantes 3D, permettant d’imprimer tout ou presque, et bien souvent à bon escient. C’est le cas de ce club d‘élèves d’une école publique d’Edmonton en Canada qui a décidé de créer sa propre énergie renouvelable. Ils ont en effet mis au point une éolienne, construite à l’aide d’une imprimante 3D.
Le club en question s’était vu attribuer l’an dernier une bourse de 5000 dollars, ce qui a permis aux élèves d’installer des panneaux solaires sur le toit de leur école. Devant le succès rencontré par cette expérience, le professeur Ian Doktor et sa fine équipe a fait bon usage du renouvellement de leur bourse pour s’attaquer cette fois à la création d’une éolienne créée par impression 3D.
La tache fut loin d’être aisée, d’autant plus que l’éolienne s’est parfois brisée en plusieurs morceaux après des chutes, mais le projet a quand même tenu bon.
Outre l’aspect pratique de cette expérience, la création de cette éolienne imprimée permet également, selon Margarita Shipelevichm, une élève, de lutter contre l’éco-anxiété qui ronge actuellement notre société. Le changement climatique étant une réalité, trouver des solutions de ce genre est désormais une nécessité, a-t-elle rajouté.
Si tout se passe bien, les élèves espèrent remettre ça l’an prochain et pourquoi pas mettre sur pied une petite station météo afin d’observer les changements climatiques des environs. Une très belle manière de faire fusionner impression et conscience écologique.
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Il ne se passe pas une semaine désormais sans que HP ne défraye la chronique avec un nouveau scandale. Cela fait des années en effet que la firme est embourbée dans des affaires louches, entre mises à jour douteuses et pratiques peu éthiques.
Depuis quelques années, la marque propose ainsi la formule HP+, permettant aux utilisateurs de bénéficier de moult avantages, HP allant même jusqu’à mettre l’emphase sur l’impact environnemental positif d’un tel abonnement. Si tout cela semble alléchant sur le papier, la réalité est tout autre.
En effet, vous abonner à utiliser HP+ vous exhorte à imprimer uniquement avec des cartouches d’encre HP originales, excluant ainsi toute encre tierce. Cette pratique n’a pas plu à l’International Imaging Technology Council (ou IITC) , déposant une plainte contre HP qui se vante d’utiliser un label EPEAT pour son service.
Ce label exige en effet que des cartouches de type compatibles puissent être utilisées dans ce type d’abonnement, chose qu’HP n’autorise pas du tout.
Si HP a pu s’en sortir ces derniers temps avec son abonnement, cette nouvelle affaire risque de leur causer tort. L’IITC semble en tout cas bien parti pour taper sur les doigts de HP, que ce soit à l’encontre de HP+ mais d’autres éventuels produits soi-disant verts de la marque. Ce retrait de label n’a stop-diabetes-wiki.com pas de chance de mener à un procès contre la marque. Néanmoins, la facture commence à être de plus en plus salée pour HP qui s’attire des foudres de partout.
A voir si cela impactera les ventes / abonnements de la marque sur le long terme.
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