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Même si l’impression permet à tout un chacun d’imprimer de nombreuses choses, il faut parfois s’en tenir à des choses basiques au lieu de risquer de finir en prison !
En effet, il n’est pas rare d’entendre des petits faits-divers mettant en scène des utilisateurs ayant voulu fabriquer des faux billets en utilisant leur appareil. C’est ce qui s’est récemment passé en Normandie où une femme du nom de Samantha a été arrêtée pour avoir imprimé des fausses coupures. Résultat, la coupable de 27 encore près de deux mois derrière les barreaux.
Alors qu’elle avait des difficultés au niveau financier, la jeune femme s’est tournée vers son imprimante pour commettre son larcin. Jouant la carte de la prudence, la jeune faussaire s’est ainsi contentée de faire des achats assez minimes. Comble de l’ironie, elle s’est également servie de ses contrefaçons pour s’acheter une nouvelle cartouche d’encre.
Cela dit, la supercherie de Samantha n’est pas restée longtemps inaperçue et ce sont deux commerçants n’ont pas manqué de remarquer que les billets étaient plus bizarre que la normale. Après avoir été prévenus, les autorités ont pu retracer l’endroit où résidait la jeune femme. Après la perquisition, ils ont pu ainsi trouver des faux billets et de nombreuses feuilles de papier servant à l’impression des billets.
Afin d’éviter de finir en prison, il est ainsi préférable de n’utiliser son appareil qu’à des fins pratiques et utiles, surtout à une époque où l’on peut même imprimer des armes et pirater des imprimantes.
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C’est un véritable bras de fer qu’est en train de se livrer actuellement l’association HOP et les constructeurs d’imprimantes. Pour rappel, l’association avait porté plainte contre certaines grandes marques d’imprimantes dont Epson, et cette dernière a alors tenté d’argumenter.
Seule ombre au tableau, les arguments avancés par la firme japonaise n’ont pas été suffisamment convaincants pour HOP.
Pour rappel, le dépôt de plainte a eu lieu en septembre dernier, avec comme principal chef d’accusation la réduction volontaire et drastique de la durée de vie des cartouches d’encre, avec en prime un fort pourcentage d’encre non utilisée. Epson a tenté de défendre son point de vue, arguant qu’il était nécessaire de conserver un semblant d’encre dans la cartouche afin de garder la tête d’impression bien humide.
HOP aurait alors déclaré, après avoir fait quelques tests, que la dégradation du consommable interviendrait après une quinzaine d’utilisation, avec des cartouches « vides «.
Epson a par la suite apporté un nouvel élément à son argumentaire, stipulant que les tampons absorbeurs si souvent bloqués pouvaient être remplacés gratuitement. Si HOP n’a pas réfuté cet élément, elle a rajouté que cette information était inconnue de la majeure partie du public et des réparateurs. La confrontation risque encore de durer de nombreux mois avant qu’un verdict ne soit finalement énoncé.
Le principe d’obsolescence programmée que HOP pointe du doigt est depuis 2015 considéré comme un crime majeur, passible de deux ans d’emprisonnement et de 300,000 euros. Reste désormais à savoir qui sortira vainqueur de cette affaire qui risque de défrayer la chronique pour un long moment.
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