.product_badge {position:relative;}.bit_badge_new{ position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_sale{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_discount{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_hot{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_product{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_category{position:absolute;z-index:99;}
à l’aide du n° de votre cartouche dans les onglets ci-dessous :
Si vous ne trouvez pas votre encre à l’aide de nos outils, APPELEZ-NOUS AU 01 49 28 94 84
L’impression et la sauvegarde de l’environnement ne faisant pas souvent bon ménage, il est toujours agréable de voir apparaitre des projets faisant rimer qualité d’impression et protection de la nature ! Ce sera le cas de la MOD-t, une imprimante 3D qui s’apprête à déferler dans les chaumières.
Ayant récemment vue le jour grâce à une campagne de crowdfunding, campagne ayant permis de récolter près de 683 804 dollars, la MOD-t a de sérieux atouts pour plaire Le prix de lancement par exemple demeure encore inconnu, mais d’aucuns disent que celui-ci ne sera pas au-dessus de 400 dollars. Un bon point en somme pour cette imprimante ! Quid de son côté écologique ? La MOD-t utilisera ainsi un type de PLA qui sera plus vert qu’à l’accoutumée, celui-ci étant issu de sources renouvelables comme le tapioca. Peu de chance donc de voir l’imprimante contribuer à l’accumulation de déchets industriels.
Si le prix et le côté écolo devraient déjà attiser la curiosité de plus d’un utilisateur, la petite imprimante aura encore d’autres tours dans son sac. Refusant de jouer les outsiders au niveau de la qualité d’impression, vous pourrez ainsi avoir droit à une vitesse d’exécution de 80mm par seconde et vous pourrez même choisir la résolution d’impression parmi trois options disponibles (0.1, 0.2, 0.3 et 0.4 mm). Pour finir, l’imprimante sera connectée au New Matter store, une librairie en ligne vous permettant d’avoir des modèles 3D faciles à imprimer.
Reste à savoir désormais si les petites subtilités de l’imprimante aideront à une démocratisation plus rapide de l’impression en relief chez les particuliers.
Accueil du Blog Encros
Abonnez-Vous Au Blog Encros
S’inscrire à la Newsletter
A bien y réfléchir, les imprimantes 3D sont en quelque sorte les cousins éloignés des machines de téléportation que l’on peut souvent voir dans les films de science-fiction. En s’appuyant sur ce concept, des ingénieurs ont ainsi mis au point une imprimante qui devrait ravir les fans de Star Trek !
Baptisée « Scotty », en référence à l’un des personnages de la mythique série, cette, ou plutôt ces imprimantes, s’apparenteront à un appareil de téléportation. Un objet se verra donc dupliqué dans une seconde imprimante alors que le modèle original se verra détruit couche par couche dans la première imprimante (à l’imagine du principe de téléportation où un élément « A » est dématérialisé pour être reconstitué en tant qu’élément « A2 »). Si tout cela peut paraitre bien excitant sur le papier, d’aucuns se demanderont s’il ne serait pas plus judicieux d’envoyer un scan de l’objet plutôt qu’une réplique qui sera pas aussi fidèle que l’original.
Les têtes pensantes de la Hasso-Plattner-Institut, responsables de la « Scotty », espèrent ainsi faciliter la vie des personnes souhaitant par exemple acheter quelque chose sur eBay sans avoir à attendre une semaine avant de le recevoir. Ce moyen serait aussi une manière efficace de lutter contre le piratage, fléau qui guette cette nouvelle forme d’impression depuis ses débuts. Néanmoins, les concepteurs devront d’une part améliorer la précision de leurs imprimantes tout en augmentant la vitesse d’impression avant d’éventuellement songer à commercialiser leur création.
Si ce procédé de dématérialisation / réimpression se démocratisait, il se peut qu’on puisse un jour désimprimer un être vivant pour le réimprimer autre part ! Pas sûr cependant que l’on soit là pour voir cela arriver !
Accueil du Blog Encros
Abonnez-Vous Au Blog Encros
S’inscrire à la Newsletter