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S'il est de bon ton de nos jours de lancer une campagne Kickstarter afin de financer son projet d'imprimante, il arrive parfois que l'opération finisse en eau de boudin. Pire encore, il arrive même que certaines campagnes a priori réussies se terminent particulièrement mal.
Pirate3D, une start-up nous venant de Singapour avait eu la bonne idée, il y deux ans de proposer au monde une imprimante 3D au prix très abordable, la Buccaneer. Il va sans dire que le projet avait excité les aficionados de l'impression et la campagne de financement avant générée l'impressionnante somme d'1,5 millions de dollars en l'espace d'un mois. Succès sur toute la ligne donc pour la start-up et les 3000 donateurs qui avaient financé la chose attendaient depuis patiemment leur imprimante. A l'heure où nous écrivons ces ligne, seules 200 imprimantes ont été envoyées à leurs nouveaux propriétaires.
Pourquoi un tel retard ? Dans une annonce faite sur Kickstarter mardi dernier, le chef exécutif de Pirated3D Brendan Goh avait gelé ses opérations depuis les deux derniers mois. La start-up a en effet décidé de procéder ainsi pour les trois mois à venir afin de renflouer les caisses qui seraient assez vides. A ce titre, tout nouveau financement ne servirait aucunement à envoyer les imprimantes manquantes. Goh a également déclaré que sa compagnie commencerait bientôt à travailler sur un nouveau modèle d'imprimante, sans pour autant éclaircir la situation quant aux personnes attendant désespérément leur imprimante.
Selon la réglementation de Kickstarter, Pirate3D se doit d'honorer ses commandes, ou sinon procéder à un remboursement des investisseurs. Si aucune des conditions n'est remplie, ces derniers sont parfaitement en droit de poursuivre la compagnie. A voir désormais quel sera l'issue de cette affaire risquant de décrédibiliser la compagnie singapourienne.
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Si l'impression 3D est en pleine expansion, il y a certains domaines où ces imprimantes nouvelle génération semblent s'épanouir particulièrement. Outre la médecine et la cuisine, la construction goutte également aux possibilités offertes par l'impression, en témoigne les nombreux projets existants ou en cours de développement .
Dernière imprimante à faire parler d'elle, la Apis-Cor, une imprimante 3D qui aura des allures de grue, logique vue le domaine dans lequel elle compte évoluer. On doit son existence à un ingénieur russe du nom de Nikita Chen-yun-tai et ce dernier a dévoilé les subtilités de son imprimante XXL. Celle-ci sera relativement simple à installer et sera dépourvue de gros éléments trop encombrants, quand bien même l'imprimante fera dans les 4 mètres et pèsera dans les 2,5 tonnes ( à ce titre, un camion sera nécessaire pour la déplacer d'un endroit à un autre). La machine sera en mesure d'imprimer près de 192 m² d'habitation à partir d'un point unique de construction, sans aucune limitation ou presque de hauteur.
Outre ses capacités, l'Apis-Cor 3D devrait également faire plaisir aux plus écolos d'entre nous. L'imprimante ne génère aucune saleté et ne consommera que huit kilowatts d'énergie, soit l'équivalent de cinq théières électriques en action.
Prêt à vous faire imprimer une belle habitation ?
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