.product_badge {position:relative;}.bit_badge_new{ position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_sale{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_discount{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_hot{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_product{position:absolute;z-index:99;}.bit_badge_category{position:absolute;z-index:99;}
à l’aide du n° de votre cartouche dans les onglets ci-dessous :
Si vous ne trouvez pas votre encre à l’aide de nos outils, APPELEZ-NOUS AU 01 49 28 94 84
Alors que l'impression 3D déferle tranquillement sur notre quotidien, cette innovation des plus spectaculaires n'est cependant pas arrivée sans heurt. En effet, si tout ou presque est désormais imprimable, certains se sont mis en tête d'utiliser ces imprimantes pour créer des armes. Une situation qui n'a pas tardé à faire réagir et devant l'ampleur que risque de prendre cette tendance, certains pays ont décidé de trancher.
Ainsi, un État d'Australie a décidé de considérer les armes imprimées de plus près, en votant une loi non pas contre lesdites armes, mais contre leurs..plans. En effet, si un quidam veut s'imprimer une arme de chez lui, il lui faudra tout d'abord les plans nécessaires pour donner vie à sa création. Si vous vous retrouvez ainsi avec des plans d'impression d'une arme en 3D, vous pourrez finir en prison ! Les autorités ont d'ailleurs mis la barre assez haute et ce ne sont pas moins de quatorze années emprisonnement qui attendent les inventeurs en herbe.
Néanmoins, on imagine que la tache risque d'être assez ardue pour les autorités, trouver des fichiers de ce type sur les ordinateurs présents dans l'état risquant d'être assez long et fastidieux,d'autant plus que les solutions pour contourner le problème sont assez nombreux ( comme crypter ses données par exemple).
L’initiative est en tout cas assez louable, même si l'Australie demeure relativement tolérante envers les armes ( qui sont en ventre libre dans le pays). A voir désormais si les gens vont privilégier l'impression pacifique aux objets mortels.
Découvrez toutes les actualités du monde de l'impression et bien plus encore en vous abonnant à notre chaîne Youtube juste ici!
Accueil du Blog Encros
Abonnez-Vous Au Blog Encros
S’inscrire à la Newsletter
Que faire si jamais vous possédez un chiot qui vient de naître sans ses pattes avant ? Lui imprimer de quoi se mouvoir plus facilement ! Ainsi, un petit chien d'à peine 6 semaines du nom de Tumbles, née avec des membres en moins, a reçu de l'aide de la part de chercheurs d'une université de l'Ohio.
Pas évident de se déplacer à sa guise quand on se retrouve ainsi avec des pattes en moins. La vie de Tumbles avait d'autant plus mal commencé car il avait été retrouvé alors qu'il avait à peine deux semaines, mis à l'écart par sa mère et le reste de ses frères. Personne ne donnait cher de sa vie, mais un responsable de l'université décida de tout faire pour que la petite bête soit à nouveau sur pied, ou sur roulettes dans le cas présent.
Les roulettes en questions furent mises au point à l'aide d'une imprimante 3D et il aura fallu près de 14 heures avec que l'objet imprimé ne fasse enfin son apparition. Néanmoins, les premiers essais ne se sont pas montrés particulièrement concluants et le petit chien semblait un peu hésitant sur ses nouvelles roulettes. Quoi qu'il en soit, les têtes pensantes responsable de l'impression planchent déjà sur une version plus petite et légère des roues qui devraient lui permettre de se mouvoir plus facilement.
Une nouvelle preuve en tout cas que les imprimantes 3D, outre leur aspect innovant, se présentent comme un outil de plus en plus en plus indispensable dans le domaine de la médecine, que ce soit pour les humains ou les animaux!
Découvrez toutes les actualités du monde de l'impression et bien plus encore en vous abonnant à notre chaîne Youtube juste ici!
Accueil du Blog Encros
Abonnez-Vous Au Blog Encros
S’inscrire à la Newsletter