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Vous souffrez de calvitie ? N’ayez crainte, l’impression est en train de venir au secours de votre cuir chevelu !
La société de cosmétiques L’Oréal a fait équipe avec la société française de bioprinting Poietis, afin de développer une technologie révolutionnaire, permettant de créer des follicules capillaires via impression. La technique, développée par Poietis, utilise le laser pour y arriver, couplée à une encre spéciale, composée de cellules prélevées chez des patients souffrant d’alopécie.
Ainsi, le rayon envoie un flux de cellules sur un substrat, qui sera recouvert de substances nutritives pour aider aux cellules à se développer. En faisant cela, couche par couche, les scientifiques pensent qu'ils pourraient donner naissance à quelque chose ressemblant à un follicule capillaire. Le tissu biologique vivant créé sera ensuite mûri pendant environ trois semaines, avant qu'il ne puisse être utilisé dans les tests.
Pour L'Oréal, la combinaison de l’expertise des deux compagnies ouvre de nouvelles possibilités . «Ce partenariat est très stimulant au niveau de la recherche », explique José Cotovio, qui œuvre pour la compagnie de cosmétique. Plus tôt cette année, les chercheurs ont révélé qu'ils avaient trouvé un moyen de cultiver des cellules complexes de la peau, avant de les implanter par la suite avec succès.
Pourra-t-on bientôt imprimer de belles touffes de cheveux ? Si cette technologie se démocratise dans les années à venir, nous verrons peut-être l’éradication d’un des problèmes esthétiques les plus redoutés de la planète ! Et vous, seriez-vous prêt à vous faire imprimer des cheveux sur la tête ?
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Il fut un temps où faire des pâtes se résumer à mettre de l’eau à chauffer pour faire cuire sa pitance. La technologie aidant, c’est désormais à l’aide d’une imprimante que l’on va se faire à manger ! En effet, le géant des pâtes Barilla a décidé de se tourner vers le monde de l’impression pour mettre au point certains de ses produits.
Qu’en est-il du projet deux ans après sa mise en branle ? Conçu en collaboration avec la TNO, une organisation scientifique néerlandaise, ces pâtes imprimées sont toujours d’actualité et la société italienne travaille toujours d’arrache-pied pour essayer de démocratiser son concept. À l’heure qu’il est, les têtes pensantes cherchent à trouver un moyen d’imprimer les produits plus rapidement, tout en se penchant vers des alternatives sans gluten ou avec des céréales complètes.
Outre le fait d’attirer l’attention de ses consommateurs lambda avec ce nouveau procédé, Barilla veut aussi gagner le cœur des restaurateurs. Le but serait, sur le long terme, de permettre aux clients de restaurants de choisir la forme de leurs pâtes via une application. Possédant actuellement quatre restaurants aux USA, Barilla souhaite en ouvrir d’autres, afin d’implanter un peu plus cette technique d’avenir.
Que les puristes se rassurent, les responsables de Barilla ont déclaré que les pâtes traditionnelles ne seraient pas remplacées par ces produits imprimés, mais qu’elles seraient surtout une option. À noter en effet que les véritables pâtes sont plus rapides à produire que leur version imprimée. Ne rangez donc pas encore vos casseroles, elles peuvent encore servir !
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