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Alors que de nombreuses voix n'ont eu cesse de s'élever au fil des années, dénonçant les tarifs de plus en plus prohibitifs des consommables, il semblerait que certaines marques aient enfin entendus les plaintes des utilisateurs. En effet, le géant Epson s'apprête à sortir une imprimante qui fera appel à des réservoirs d'encre et non plus aux fameuses cartouches habituelles.
Le grand public a depuis longtemps remarqué que les grandes marques s'appuyaient sur la vente de consommable pour effectuer un maximum de profit. A force de voir leurs utilisateurs faire appel à d'autres moyens pour imprimer sans se ruiner ( la recharge de cartouche ou l'utilisation d'éléments remanufacturés), un changement de politique se devait d'être mis en place et c'est Epson qui a dégainé le premier.
Selon les premières informations, ces imprimantes « low cost » seront pourvues d'un réservoir qui tiendrait près de deux ans (dans la mesure où le foyer s'en servirait pour imprimer au moins 200 feuilles par mois). Selon les dirigeants de l'entreprise, l'utilisateur pourra faire des économies de près de 60% et il pourra même recharger son imprimante comme bon lui-semble quand le réservoir sera vide.
Tout n'est pas rose dans cette histoire et la marque compte ainsi combler son manque à gagner en proposant un prix de lancement avoisinant les 250 livres (soit 317 euros), sans compter que la nouvelle configuration des imprimantes les rendra plus volumineuses. Quoi qu'il en soit, ces détails ne devraient pas nous faire oublier que les grandes marques se décident enfin à proposer des solutions concrètes à ses utilisateurs. Reste à savoir désormais de quelle manière les autres constructeurs vont riposter !
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Après les os et autres cranes enfoncés, l'impression en relief s'attaque désormais à la peau humaine, afin de venir en aide notamment aux grands brûlés.
C'est du côté du Canada, à Toronto plus précisément, qu'il faut se rendre pour découvrir la PrintAlive, une belle imprimante conçue par Arianna McAllister et Lian Leng, deux étudiants en ingénierie. La machine est encore certes à ses balbutiements mais il va sans dire qu'une telle invention pourrait apporter une aide précieuse aux médecins dans le monde.
Afin de soigner les victimes, on prélevait souvent des échantillons de leur propre corps ( ou venant parfois d'une autre personne), mais cette méthode présentait de beaux inconvénients, le temps et les risques de rejet! Il est fort possible qu'un patient meurt si on le soigne pas immédiatement de ses brûlures et c'est ça que la PrintAlive risque de sortir son épingle du jeu.
L'imprimante possédera des cartouches chargées en cellules de peau, le tout baignant dans un liquide favorisant le bon développement de l'ensemble. Le liquide sera alors solidifié lors de la phase d'impression, créant ainsi une couche de peau protectrice pour venir en aide au brûlé. Outre son procédé assez révolutionnaire, cette imprimante se veut également être un moyen très économique de soigner les futures victimes. En effet, il sera possible de l'emmener où bon nous semble, comme par exemple dans les pays pauvres ne disposant pas de moyens ou de matériaux adéquats.
Si les premiers tests se sont révélés prometteurs, il faudra néanmoins attendre près de trois ans avant que les humains profitent à leur tout des bienfaits de la PrintAlive. En attendant, les concepteurs de la machine participent activement à divers concours afin de générer des fonds supplémentaires pour leur projet.
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